C'est l'histoire d'un gars qui a entendu parler de méditation, de pleine conscience, de yoga et de toutes ces techniques qui sont censées nous faire tellement de bien et dont tout le monde parle aujourd'hui.
Même son médecin lui a conseillé, pour ses problèmes de santé, d'éviter le stress, de prendre un peu de temps pour lui, de faire du yoga ou de la méditation.
Aussi, a-t-il acheté un tapis de yoga, un petit banc de prière et un CD de musique zen.
Une fois rentré à la maison, il se réserve une chambre pour se mettre au calme avec un éclairage diffus. Il demande à toute la famille de le laisser seul, de ne pas venir le déranger. Il coupe son téléphone et, bien à l'aise dans des habits amples comme on lui a recommandé, il s'installe sur son tabouret de prière pour réaliser ce temps si important de lâcher prise avec sa vie turbulente.
Une belle musique tranquille est diffusée maintenant dans la pièce et un bâton d'encens dispense son parfum agréable. Toutes les conditions sont donc réunies, mais voilà qu'il entend le bruissement d'ailes d'une mouche. Elle se rapproche, il le devine rien qu'au bruit! Voilà qu'elle tourne autour de lui! Il cherche à se dégager de cette distraction... mais c'est trop fort car cette mouche vient à se poser sur son front! Il cherche à rester dans l'immobilité et donc, se met à souffler dans la direction de la mouche pour la faire partir.
Ouf! elle s'envole.... il va pouvoir continuer sa pause de méditation, il n'a qu' 1/2h de libre quoi!
La mouche ne doit pas le savoir sans doute, car quelques instants plus tard, la voici de retour et elle a le culot de se poser sur son endroit privilégié: le nez du méditant. Celui-ci ne peut réprimer un mouvement de la main, jusque-là immobile, pour chasser cette intruse et espère ainsi reprendre son activité. Le répit n'est pas long car à peine 30 secondes se sont écoulées et la mouche recommence à lui tourner autour et vient encore se poser sur sa joue! N'y tenant plus, notre homme s'écrase une gifle -dans l'espoir de tuer la mouche- tout en criant " cette mouche, elle m'énerve..."
À votre avis est-ce que cette mouche l'énerve ou fait-elle seulement son petit boulot de mouche, se posant ça et là où les odeurs et la surface l'attirent ?
Non, c'est bien sûr: cette mouche ne l'énerve pas... c'est tout simplement lui qui s'est laissé énerver par la mouche!
Chacun d'entre nous, nous avons tant et tant d'occasions de nous énerver, de nous esclaffer: "Celui-là, celle-là, cette situation-ci m'énerve!!!"
Comme mini-méditation, si cela vous arrive, prenez 3'' renversez le miroir et observez (sans vous en vouloir) que c'est seulement vous, qui vous laissez énerver dans tel type de situation ou de rencontre. Le monde extérieur vous parle de vous, comment vous le recevez, comment vous l'appréhendez. Ces 3'' d'arrêt dans votre course journalière, peuvent vous parler de vous, de votre état de tension, de votre peu de réceptivité et donc, du travail qu'il y a encore et encore à faire avec vous-même au quotidien, c'est à dire tout de suite par exemple en lâchant les épaules dans un expir profond répété à peine 3fois.
La situation ne sera jamais parfaite : la mouche, votre voisine au cours de Taï Chi (qui se croit plus que...), le lambin sur la route qui vous ferait manger votre volant....
Oui, vous aurez toujours quelque chose à redire, à reprocher, quelque chose qui ne va pas... Il n'y a qu'un moyen : c'est que vous deveniez davantage réceptif, accueillant aux choses qui vous arrivent, aux situations que vous rencontrez, aux personnes différentes de vous que vous côtoyez.
Bien sûr, vous avez mille fois raison de prendre du temps pour vous au travers des techniques de bien être, de suivre des cours, des formations, de lire des livres sur ces sujets. Je vous y encourage et pourtant, n'omettez surtout pas que votre quotidien vous invite à mettre tout cela en pratique. C'est au pied du mur qu'on voit le maçon, bon travail!
Bonjour
Tu cherches et, c'est ici, chez toi, que tu peux trouver
Trouver quoi, trouver qui ?
Te trouver tout simplement, avec tes paradoxes (ta lumière et tes ombres)
Découvre paisiblement à travers ces textes
Qui tu es et Où tu es
Trouver quoi, trouver qui ?
Te trouver tout simplement, avec tes paradoxes (ta lumière et tes ombres)
Découvre paisiblement à travers ces textes
Qui tu es et Où tu es
samedi 27 janvier 2018
samedi 20 janvier 2018
Aime-toi
AIME-TOI, TEL QUE TU ES
Oui, aime-toi comme tu
es.
Toi seul connais tes richesses, tes rêves de bonheur, tes projets
enthousiastes.
Toi seul aussi connais ta pauvreté, tes combats et tes tribulations intérieures.
Tu te connais mieux que quiconque et, je te le demande, Aime-toi, tel que tu es.
Même si tu retombes dans ces travers que tu voudrais n'avoir jamais
connu, aime-toi aujourd’hui car tu es seulement en chemin, en train de devenir.
Et un jour, sur ce chemin, tu comprendras tes difficultés, tu les situeras
comme des étapes, des obstacles même, qui avaient tous leur utilité pour toi
pour ton devenir que tu façonnes.
Aime-toi tel que tu es à chaque instant, dans la ferveur ou la
sécheresse, dans la fidélité ou l'abandon de tes valeurs, dans la foi ou le
doute de toi, des autres, de la vie.
Toi, tu as absolument besoin de ton amour maintenant.
Et même si tu n’as personne qui te manifeste cet amour, si l’amour que
tu reçois ne correspond pas à tes attentes, surtout SURTOUT, saches que le
premier pas à re-faire pour sortir de tes impasses (ou simplement pour avancer
plus léger) est de t’aimer, de t’accorder ton amour.
Cet amour a deux facettes, car il s’agit de t’aimer d’un amour maternel
et aussi un amour paternel.
Par Amour maternel, je te demande de t’aimer INCONDITIONNELLEMENT.
Le mot n’est pas trop fort.
Certains d’entre nous ont reçu cet amour de leur maman. Ils ont encore
une démarche à faire : de s’aimer eux-mêmes de cet amour maternel, de ne
plus l’attendre de quelqu’un d’extérieur. Dans cette démarche, ils ont plus
facile car ils l’ont déjà reçu cet amour-là et pourtant ils doivent encore
devenir capables de se l’accorder à eux-mêmes, sans condition.
Ceux et celles qui n’ont jamais reçu cet amour inconditionnel qu’imparfaitement,
voire pas du tout, ils peuvent et doivent se l’accorder sans mesure. C’est la meilleure
façon de se réalimenter, de se nourrir et se fortifier. Même si cela vous
réconforte, n’attendez plus cet amour des autres, ne soyez plus des mendiants d’amour
(tous ceux qui ne savent pas dire non, qui ont peur de perdre cet apport car
ils ne se nourrissent pas eux-mêmes).
Par Amour Paternel, je te demande aussi de t’aimer, et cette fois avec
cette exigence juste.
Cette autorité, tu la reconnais, car tu sais qu’elle est juste,
nécessaire. Elle te respecte et pourtant, comme un papa peut le faire, elle t’oblige
à repousser tes limites.
Voilà l’amour paternel que tu peux développer en toi et pour toi, pour
te voir grandir, être fier de toi, pour t’affirmer, pour devenir quelqu’un à
tes yeux d’abord, et peut-être après, aux yeux des autres (on retrouve ici tous
ceux qui disent ne pas avoir de volonté, qui attendent que les autres ou les
événements les obligent à).
Ce père que tu as eu, n’a peut-être pas imposé de règles, de buts ou, en a t’il
mis trop ou si sèchement. Pour toi, remets cet amour paternel à sa juste place: sois ferme et bon, respectueux et exigeant à ton
égard.
Alors quand tu auras écarté tes fantômes, tes rêves, d’être aimé par les
autres, (ceux de ta famille d’enfant, ceux autour de toi aujourd’hui), tu
naîtras à toi-même avec ces mêmes richesses et pauvretés, et tu pourras choisir
de t’accompagner au quotidien en t’aimant toi-même comme un vrai père et comme
une vraie mère.
Oui, aime-toi comme tu es et cela au quotidien car tu deviens toi chaque
jour en traversant tes ombres et tes lumières. Je crois en toi.
vendredi 12 janvier 2018
Rhumatisme quand tu nous tiens ....
Restons bien terre-à-terre pour aborder médicalement cette problématique.
L'arthrose est une dégénérescence du cartilage des articulations.
On considère généralement qu’elle résulte de contraintes physiques sur les cartilages
et est due le plus souvent à des causes telles que l’usure due à l’âge, le (sur-)poids,
les activités traumatisantes pour les articulations, et pour les femmes, à la ménopause.
Il semble qu'il existerait aussi un « terrain familial », prédisposant à son apparition, un facteur héréditaire en quelque sorte.
Ainsi, de génération en génération, on se résignerait à avoir de l’arthrose, "ma mère en est remplie" et puis, "c’est comme ça, on n'y peut rien", "ça fait souffrir mais pas mourir !"
Il faut savoir que les surfaces articulaires sont recouvertes de cartilage, un tissu conjonctif très tendre – à tel point qu’il se raye à l’ongle – et dont l’épaisseur est proportionnelle aux contraintes qu’il subit.
Le cartilage n’est pas véritablement vascularisé : c’est le liquide synovial qui le nourrit et permet ainsi le glissement, et donne la fluidité au mouvement.
L'articulation, dans ces bonnes conditions, procurera un mouvement facile, fluide.
Toutefois, lorsque nous vivons un stress, nous sommes alors "sous tension".
Cette tension se répercute au niveau musculaire, ce qui crée des déséquilibres dans l’articulation et donc des pressions mal réparties.
Pour comprendre ce processus, il suffit de s’imaginer debout sur du sable avec les deux pieds marquant une empreinte d’égale profondeur des deux côtés. Si ensuite, on bascule tout son poids sur un seul pied, celui-ci s’enfonce et son empreinte est davantage marquée. C’est ce qui se passe sur la surface articulaire, lorsque le système musculaire est déséquilibré par tension : la répartition des pressions est perturbée.
C’est cet écrasement par hyperpression qui, si il est maintenu trop longtemps ou trop fréquent ou trop violent, va entrainer des perturbations nutritionnelles du cartilage. Voilà ce qui semble être une origine fréquente de la dégradation, de la souffrance articulaire qui peut évoluer en arthrose.
L’arthrose traduirait donc un déséquilibre de pression dans l'articulation atteinte, déséquilibre entrainant la dégradation du cartilage.
OUI ET QUE FAIRE?
Nous pouvons être conscients des tensions qu' "encaissent" certains muscles ( la nuque par exemple) lorsque nous sommes dans une situation de stress aigu.
Loin d'être "nombriliste", cette prise de conscience s'appelle "écoute de son corps".
Or il se fait que notre corps nous parle quasiment tout le temps et, que nous ne l'écoutons seulement que lorsque il crie plutôt que de parler, quand il nous fait mal ou plutôt quand nous lui avons fait mal.
Souvent confrontés à cette douleur, à ce cri, nous cherchons simplement à l'éliminer, à le faire taire plutôt que de l'écouter, de le décoder ou mettre en action nos mécanismes d'apaisement, de guérison (sujet que nous aborderons : notre boîte à outils gratuite).
Car s'il y a bien des causes mécaniques, physiques à ces hyperpressions articulaires, il y a aussi notre inconscient qui intervient dans ces mécanismes.
En effet, dans les situations inconfortables du stress (soit aigu soit répétitif), l'inconscient s'exprime à chaque fois par des tensions plus ou moins fortes et profondes, entrainant ainsi un déséquilibre musculaire qui provoque -tout comme les causes physiques- la dégénérescence mécanique du cartilage par compression.
Autrement dit, lorsque nous voulons une autre réalité que celle qui est, et que nous nous mettons trop longtemps ou trop souvent dans une attente, une contrainte ou une tension, nous vivons des situations créatrices de ce déséquilibre articulaire.
Exemple banal: je veux absolument terminer mon repassage alors que mon corps me supplie de faire une pause, même petite (du style: faire un tour au jardin!)
C'est cela qui va être à l'origine ou qui va entretenir et aggraver l'arthrose.
L'ARTHROSE M'APPREND QUOI?
L'arthrose se manifeste par un mouvement qui va moins bien, qui perd de sa fluidité et peut même devenir douloureux, voire impossible.
Ses origines peuvent être purement mécaniques (geste professionnel répétitif, mauvaise position au travail), mais également psychiques (de l'ordre du relationnel tendu, stress par rapport à l'avenir, aux attentes...).
Et donc, l'arthrose nous invite à retrouver, ou développer, l'écoute de soi, le respect de soi et donc de ses propres limites pour retrouver la cohérence et la fluidité avec nous-mêmes dans notre corps et aussi dans notre mental.
Nos douleurs articulaires nous enseignent donc le respect de nous-mêmes et de notre environnement (nous voulons si souvent le changer), pour entrer dans un lâcher-prise et une action au quotidien sur l'instant présent que nous vivons (par exemple: serrez-vous les dents en lisant cet article?).
L'arthrose nous ouvre la porte pour arrêter de vivre un personnage qui n'est pas nous, et donc, pour vivre en plus intime harmonie avec qui nous sommes dans l'instant présent.
Quant au caractère héréditaire de l’arthrose, il s’expliquerait par le fait que les membres d’une même famille se transmettent leurs problématiques émotionnelles et donc leurs tensions. On retrouve donc les mêmes pathologies de génération en génération.
EN RÉSUMÉ,
L’arthrose nous invite à prendre la responsabilité de notre vie, en vivant la cohérence avec nous-même, le respect dans l'instant présent, sans l’intention de vouloir vivre une autre histoire que celle que nous écrivons instant par instant, quittant tous ces rôles et personnages qui nous emprisonnent et tôt ou tard nous feront souffrir.
dimanche 7 janvier 2018
Vive 2018 😊
Cher lecteur,
que te souhaiter pour 2018 !
Beaucoup de gens t'ont souhaité bonheur, amour, santé, réussite, argent et j'en passe... Ces vœux leur venaient du fond du cœur et ils t'ont vraisemblablement touchés.
Ces souhaits, que j'ai reçus aussi, je les accueille. Toutefois, je ne peux pas m'empêcher de penser qu'ils sont comme des cadeaux précieux, que je ne sais pas toujours déballer, dont je ne sais pas bien me servir, ou alors des cadeaux dans lesquels je ne crois plus, cadeaux qui ne me serviront plus.
C'est vrai que l'amour de nos proches est très important pour chacun d'entre nous.
Pour toi, qui deviens adulte, il est quelque chose de plus important que l'amour que tu reçois, c'est l'amour que tu donnes.
Cet amour, ce trésor, cette source à l'intérieur de toi, il est d'abord pour toi, oui pour toi, et seulement ensuite pour les autres! Ainsi, tu deviens un cadeau pour les autres sans t'épuiser (pas un cadeau vide).
Parfois tout un chacun s'interroge: qui suis-je? que vais-je devenir? quelle est ma place?
Je voudrais aujourd'hui, en ce début d'année, te partager ma vision des choses.
Ma vie, tout comme la tienne d'ailleurs, je la vois comme un grand jeu de piste.
J'ai cherché à comprendre les choses que j'ai vécues, les événements heureux et malheureux, la violence des séparations, le hasard (?) des rencontres, les épreuves que j'ai traversées, les échecs que j'ai endurés.
Je ne savais pas que tout cela, c'était les flèches de mon jeu de piste personnel.
Ce n'est que petit à petit, que j'ai pu reconnaître ces flèches, comme étant les miennes et, avec essai et erreurs, que j'ai pu trouver puis affiner leur signification.
Je commence aujourd'hui à parcourir ma journée en l'accueillant comment un gamin qui commence ce grand jeu de piste auquel il est convié chaque jour.
Je le parcours d'heure en heure. Je sais que c'est à moi, et à moi seul, à trouver ce fléchage, à le reconnaître, à le décoder.
Ainsi je fais ce que j'ai à faire: réaliser ma vie, suivre mon fléchage.
Conséquences directes : les choses se mettent en place toutes seules ( en fait c'est plutôt moi qui me suis mis à MA place), j'arrête de m'en prendre plein la g.., je me sens bien, simplement heureux.
Je te souhaite une année 2018 fleurie de tes découvertes et enrichie de tes réalisations!
que te souhaiter pour 2018 !
Beaucoup de gens t'ont souhaité bonheur, amour, santé, réussite, argent et j'en passe... Ces vœux leur venaient du fond du cœur et ils t'ont vraisemblablement touchés.
Ces souhaits, que j'ai reçus aussi, je les accueille. Toutefois, je ne peux pas m'empêcher de penser qu'ils sont comme des cadeaux précieux, que je ne sais pas toujours déballer, dont je ne sais pas bien me servir, ou alors des cadeaux dans lesquels je ne crois plus, cadeaux qui ne me serviront plus.
C'est vrai que l'amour de nos proches est très important pour chacun d'entre nous.
Pour toi, qui deviens adulte, il est quelque chose de plus important que l'amour que tu reçois, c'est l'amour que tu donnes.
Cet amour, ce trésor, cette source à l'intérieur de toi, il est d'abord pour toi, oui pour toi, et seulement ensuite pour les autres! Ainsi, tu deviens un cadeau pour les autres sans t'épuiser (pas un cadeau vide).
Parfois tout un chacun s'interroge: qui suis-je? que vais-je devenir? quelle est ma place?
Je voudrais aujourd'hui, en ce début d'année, te partager ma vision des choses.
Ma vie, tout comme la tienne d'ailleurs, je la vois comme un grand jeu de piste.
J'ai cherché à comprendre les choses que j'ai vécues, les événements heureux et malheureux, la violence des séparations, le hasard (?) des rencontres, les épreuves que j'ai traversées, les échecs que j'ai endurés.
Je ne savais pas que tout cela, c'était les flèches de mon jeu de piste personnel.
Ce n'est que petit à petit, que j'ai pu reconnaître ces flèches, comme étant les miennes et, avec essai et erreurs, que j'ai pu trouver puis affiner leur signification.
Je commence aujourd'hui à parcourir ma journée en l'accueillant comment un gamin qui commence ce grand jeu de piste auquel il est convié chaque jour.
Je le parcours d'heure en heure. Je sais que c'est à moi, et à moi seul, à trouver ce fléchage, à le reconnaître, à le décoder.
Ainsi je fais ce que j'ai à faire: réaliser ma vie, suivre mon fléchage.
Conséquences directes : les choses se mettent en place toutes seules ( en fait c'est plutôt moi qui me suis mis à MA place), j'arrête de m'en prendre plein la g.., je me sens bien, simplement heureux.
Je te souhaite une année 2018 fleurie de tes découvertes et enrichie de tes réalisations!
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